L ‘ARNm, utilisé comme vaccin chez L’HOMME, est une nouvelle approche.
Il y a un débat autour de son usage.
Les personnes qui sont contre pensent qu’il y a des risques d’intégration des copies de cet ARN dans le génome humain, en plus des effets secondaires dont on ne connaît pas l’ ampleur.?
J’ai voulu par ce post éclairer mes lecteurs.
C’ est vrai que l’on n’a pas suffisamment de recul, pour juger de ses effets secondaires, mais quand on sait que l’ARN, d’une façon générale, subit sa transcription et sa traduction uniquement au niveau du cytoplasme et qu’il n’a pas la possibilité d’accéder au noyau, par conséquent il n’y aura pas d’intégration.
L’ARN vaccin est un ARNm utilisé in vivo pour la synthèse de la proteine de surface ” Spike” au niveau du cytoplasme. Après cette opération cette ARN dégénère. Avec cette opération on a évité sa synthèse in vitro. (étape longue impliquant culture cellulaire, purification… ).
1/L’ hypothèse que cette ARN risque de s’intégrer dans le génome est à écarter pour ce type d’ARN car, il n’est pas doté de l’enzyme qui peut la convertir en ADN ( la reverse transcriptase).
Les ARN qui peuvent accéder au noyau, sont les ARN possédant cet enzyme comme le cas du virus HIV et les autres rétrovirus. Ce type d’ARN, peut atteindre le noyau et s’intégrer au génome de la cellule. Or ce n’est pas le cas pour le” ARNm vaccin”. Malgré qu’on peut être porteur de rétrovirus latents, la possibilité d’interaction avec” L’ARNm vaccin”est quasi nulle.
2/La possibilité d’exacerber la réaction inflammatoire des cellules immunocompétentes n’est pas écartée comme plusieurs autres types de vaccins utilisant les adjuvants. Ces effets secondaires sont à suivre pour évaluer son impact chez les sujets vaccinés, et adopter les mesures adéquates.