Badreddine Ben Henda s’est distingué, depuis 2017, par une créativité prolifique particulièrement épanouie au beau milieu de sa décennie de sexagénaire. Face à cette expérience, on se rappellerait le parcours d’Edmond Amran El Maleh au Maroc, qui s’est mis à écrire à 63 ans et dont la première décennie de la mort a été commémorée en novembre 2020 par des intellectuels marocains.
Voilà donc que Badreddine Ben Henda clôt l’année 2020 par un recueil de poésie, « Pour quelques frissons de plus… », et un roman, « La Pétition de Bayrem ». Il a ainsi inscrit à son répertoire douze titres de créations, sans compter les études littéraires, en attendant la suite.