Destin d’une mère -Légende vivante – le parcours d’une combattante est un livre de Saïda Agrebi, publié par les éditions Sydney Laurent à Paris, le 15 avril 2021. C’est un livre de 356 pages dans le genre autobiographique. Voici comment il est présenté par sa quatrième de couverture :
« Dédié à son fils unique, arraché à la vie sans qu’elle puisse l’accompagner jusqu’à sa dernière demeure, ce livre est un devoir de mémoire qui retrace le parcours exceptionnel d’une militante tunisienne ayant consacré sa vie au service de la femme, de la famille et de l’enfance dans le monde arabe et africain. Féministe pionnière, ses réalisations en Tunisie et à l’échelle internationale sont nombreuses et témoignent de son engagement pour les causes humanitaires et progressistes. Femme de terrain et d’expériences, altruiste et intellectuelle engagée, elle livre ici son témoignage avec objectivité et dignité en rétablissant un certain nombre de vérités occultées ou transfigurées par ses adversaires politiques. Depuis l’enfance Saint- Germinoise jusqu’à l’exil politique en France, elle raconte son parcours parsemé de victoires et de défaites, de bonheur et de souffrance, de fidélité et de trahison, sans le moindre sentiment de haine mais sans aucun reniement de son passé qui l’honore autant qu’il accable tous ceux qui ont tenté de la discréditer. Elle est nominée Légende Vivante. »
La quatrième de couverture présente l’auteure en ces termes :
« Citoyenne du Monde, tunisienne d’origine, parisienne de résidence, bachelière et universitaire, l’auteure a été la première tunisienne à poursuivre des études post-universitaires aux Etats-Unis. Diplômée de Berkeley, elle y a soutenu sa thèse sur les Caravanes Multi-disciplinaires au Service du Développement Intégré, pour se consacrer à son pays, à l’avancement des droits des femmes et à l’humanitaire envers les plus démunis. Elle a occupé plusieurs postes de décision au niveau national et international. Mama Africa, députée tunisienne, a été élue Parlementaire Panafricaine, à Durban. Commissaire et Coordinatrice des ONG de la Société Civile de l’Union Africaine, mère d’un fils décédé et grand-mère de 2 petites filles, elle a été décorée de l’ordre de l’Indépendance et de la République et a obtenu le Trophée : Femmes Leaders d’Excellence et le Statut : ONU/ECOSOC à son ONG OISAT/WASAT. »
Indépendamment de toute opinion qu’on ait de S. Agrebi et de toute position qu’on prenne à son égard, elle n’en demeure pas moins un cas qui interpelle notre interrogation et notre examen de conscience à plusieurs égards. Aux concernés de s’interroger d’abord (et ils sont légion en tant que citoyens, instances ou associations), pour ensuite « faire ce qu’il faut », selon cette indélébile injonction sortie de la plume camusienne !
SR (Source: l’éditeur)