Aujourd’hui 3 -ème jour de ramadan et 3 -ème épisode du feuilleton qui nous intéresse au 1er degré car l’envie d’en finir comme c’est le cas ailleurs s’accroit de jour en jour. Mais quand on apprend que 2 des vaccins présents sur le marché font l’objet de réserves et de doutes comment ne pas comprendre la méfiance, l’inquiétude et la lassitude des citoyens qui veulent obstinément croire que le vaccin est le salut. Y a-t-il un vaccin haute gamme et un vaccin bas de gamme ? Même les vaccinés au Pfizer ont l’impression d’être des VIP et pourtant le russe et le chinois outre leur nationalité pour des raisons autres que sanitaires sont efficaces. Au fait tout est problème et tout suscite la suspicion et après la 1ère dose place à la 2 -ème qui pose des interrogations mais cela fait partie de l’angoisse qui règne depuis un an. Il ne faut perdre de vue la réalité du terrain, c’est cela la vérité et le reste n’est qu’interprétation et exagération.
Au début de l’épidémie beaucoup de scientifiques tablaient sur une certaine stabilité du virus mais au fil du temps ils ont déchanté. Covid 19 a été rejoint par des variants plus contagieux. Plus le temps passe et plus on se rend compte que les cas augmentent et constituent une réelle nouvelle préoccupation. Après des mois de répit l’Inde par exemple est devenu le 2 -ème pays le plus touché devant le Brésil où le nombre de morts s’allonge au-delà du soutenable. Idem pour la France qui a dépassé le cap des 100 mille décès et on n’hésite pas de parler d’hécatombe. Jusqu’à aujourd’hui seul Boris Johnson peut s’estimer heureux et chanceux, sa gestion a porté ses fruits et son pragmatisme fait école. Dans la course à la vaccination Londres laisse les européens sur place. Avec l’ouverture des pubs Boris Johnson se paie un vrai coup de pub (dixit le canard enchaîné)
En tout cas rien n’est joué et il ne faut pas baisser les bras devant l’inconnu. Reste à espérer que la vaccination qui se poursuit chez nous d’une manière régulière et soutenue soit la solution suffisante pour éteindre cette épidémie et gagner cette bataille.